Important update on the new mobility policy | Le point sur la nouvelle politique de mobilité
November 15, 2022

We promised to update you on the development of the new mobility policy at the Staff-Management Committee. As you are aware, there were several contentious issues and after intense consultations, we were able to achieve some key objectives:

  • Only new staff will be subject to mandatory geographic mobility. “New staff” are now defined as those who joined the UN Secretariat on or after the policy comes into force, which is no longer 7 May 2021 but a date in the coming months.
  • This means that if you already working in the UN Secretariat prior to the day that the new mobility policy comes into force, you are treated as a “current staff” and will not be subject to a mandatory geographic mobility during your career as long as you do not have a break in service (temporary staff unfortunately will have a break in service). Instead, the new mobility scheme will be voluntary until you retire. If you have been or will be selected against a vacant rotational position, or who choose to take part at any time in the mobility lateral reassignment exercise, you will at no time become subject to mandatory mobility nor to the respective maximum duty station occupancy limit.

We feel that these points addressed most of the concerns that you brought to us both at our mobility townhall and in the survey.

Separately, and in response to your concerns that prior geographic mobility should be recognized, the administration is currently considering career incentives linked to geographic mobility in relevant functions. These are being dealt with under the staff selection policy.

We are awaiting the full text of the revised policy for final consultations and will keep you updated.


Nous vous avions promis de vous tenir au courant de l’avancement des négociations sur la nouvelle politique de mobilité dans le cadre du Comité administration-personnel. Comme vous le savez, plusieurs aspects du projet de l’Administration étaient contestables et, après d’intenses consultations, nous avons pu obtenir des concessions clés :

  • Seuls les fonctionnaires nouvellement recrutés seront soumis à l’obligation de mobilité géographique. Ces fonctionnaires sont désormais définis comme ceux qui auront rejoint le Secrétariat de l’ONU à partir du jour de l’entrée en vigueur de la politique, c’est à dire dans quelques mois, et non plus à partir du 7 mai 2021. 
  • Si vous travailliez déjà pour le Secrétariat de l’ONU la veille de l’entrée en vigueur de la nouvelle politique de mobilité, vous serez considéré(e) comme « fonctionnaire déjà en place » et ne serez soumis(e) à l’obligation de mobilité géographique à aucun moment de votre carrière, tant qu’il n’y a pas une interruption de contrat. Pour les fonctionnaires déjà en place, la mobilité sera donc facultative jusqu’au départ en retraite. Le fait d’être sélectionné(e) pour un poste soumis à rotation vacant, ou de souhaiter un jour bouger géographiquement par le jeu d’une réaffectation, ne contraindra nullement les fonctionnaires visés à obéir à la politique de mobilité obligatoire ou à n’occuper un nouveau poste que pour une durée limitée.

Il nous semble que les concessions obtenues ont répondu à la plupart des préoccupations que vous aviez exprimées lors de notre réunion générale sur la mobilité ou à grâce à notre enquête sur ce sujet.

Par ailleurs, et en réponse à vos préoccupations concernant la reconnaissance de la mobilité géographique antérieure, sachez que l’Administration envisage actuellement de mettre en place des mesures d’incitation à la mobilité géographique liées à la progression de carrière, pour les fonctions pertinentes. Ces mesures feront partie de la politique de sélection du personnel.

Nous attendons, en vue des dernières consultations, le texte complet de la politique révisée. Nous vous tiendrons au courant de tout élément nouveau.