New travel rules are being proposed at General Assembly | De nouvelles règles en matière de voyage devant l’Assemblée générale
February 25, 2019

Many of you have brought your concerns to us with regards to the current travel policy, in particular the rule whereby a journey that isn’t direct (very much the case for Geneva) must be at least eleven hours in order to qualify for travel in business class. In calculating the eleven hours, only a maximum of two hours of transit time may be included.

This has been felt particularly hard for colleagues travelling overnight to and from a number of African, South and Central Asian destinations, who may also face extensive waits in crowded and unpleasant airports, and who are expected to start work on arrival.

We brought these concerns to management in New York. The Joint Inspection Unit also published a report on the issue.

We would like to inform you that the Secretary-General has submitted a proposal to the General Assembly whereby the threshold for direct and indirect flights would both be ten hours, with no limit on the transit time that can be counted. This proposal is cost-neutral.

While this will mean that direct journeys of between nine and ten hours from Geneva pass from business to economy (currently only Geneva to Washington DC), many other locations will pass from economy to business as a result of the change on indirect journeys from eleven hours to ten.

We will be following up closely with the General Assembly and will keep you informed.


Nombre d’entre nous ont fait part de leurs préoccupations en ce qui concerne la politique en vigueur en matière de voyages, et plus particulièrement pour ce qui est de la règle selon laquelle un voyage doit être d’au moins 11 heures pour justifier la classe affaires. Pour le calcul des 11 heures, un temps d’escale maximum de 2 heures est actuellement comptabilisé.

Cette politique a un impact certain pour ceux d’entre vous qui voyagent de nuit pour se rendre en Afrique, en Asie du Sud ou en Asie centrale ou pour en revenir, dans la mesure où la durée de leur trajet est considérablement allongée par des heures d’escale dans des aéroports bondés et peu accueillants, et où ils doivent se mettre au travail dès leur descente d’avion.

Nous avons attiré l’attention de l’Administration, à New York, sur cette situation. Le Corps commun d’inspection a publié un rapport à ce sujet. 

Nous vous informons que le Secrétaire général a soumis à l’Assemblée générale une proposition tendant à ramener le seuil de 11 heures à 10 heures, qu’il s’agisse de vols directs ou de vols indirects, sans limitation du temps d’escale comptabilisable. Il est à noter qu’une telle mesure n’aurait pas d’incidence budgétaire.

Bien que cette proposition signifie que les vols directs depuis Genève dont la durée varie entre 9 et 10 heures passeraient désormais de la classe affaires à la classe économique (à l’heure actuelle cela s’applique uniquement à la liaison Genève-Washington), beaucoup d’autres destinations passeraient de la classe économique à la classe affaires en raison du passage de 11 heures à 10 heures, pour les trajets avec escale.

Nous allons suivre cette question de près et nous vous tiendrons informés de la suite qui lui sera donnée.