Our concerns with recent developments at the Pension Fund’s Office of Investment Management | Nos préoccupations concernant les récents développements au sein du Bureau de gestion des investissements de la Caisse de pension
February 23, 2024

We are sharing with you our concerns regarding the recent firings of senior investment officers in the Pension Fund’s Office of Investment Management.

As you will see in this letter that our staff union federation, CCISUA has sent to the Secretary-General, these staff were fired for blowing the whistle on what was later found by OIOS to be a “toxic working environment”. Their performance as investment managers is not in question.

We believe that these firings:

  • go against the UN’s policy on whistleblower protection;
  • lead to the loss of significant accumulated experience; and
  • create a climate of fear among the pension fund’s investment managers that prevents them from voicing their own perspective on how investment policy is implemented.

The last point is especially important. The fund’s experienced investment managers must be able to voice their opinion, particularly when these contradict those of the head of the Office of Investment Management, a political appointment known as the Representative of the Secretary-General.

We strongly support this letter and will be discussing with other staff unions what further steps we can take.


Nous voulons partager avec vous nos préoccupations concernant des licenciements récents de cadres supérieurs chargés des investissements au Bureau de la gestion des investissements de la Caisse des pensions.

Comme vous le verrez dans cette lettre que notre fédération de syndicats, CCISUA, a envoyée au Secrétaire général, ces employés ont été licenciés pour avoir dénoncé ce qui a ensuite été considéré par le Bureau des services de contrôle interne comme un « climat de travail toxique ». Leurs performances en tant que gestionnaires des investissements ne sont pas remises en question.

Nous pensons que ces licenciements :

  • vont à l’encontre de la politique de l’ONU sur la protection des lanceurs d’alerte ;
  • entraînent la perte d’une expérience accumulée importante ; et
  • créent un climat de peur parmi les gestionnaires des investissements de notre fonds de pension qui les empêche d’exprimer leur propre point de vue sur la manière dont la politique de placement est mise en œuvre.

Ce dernier point est particulièrement important. Des gestionnaires des investissement, qui sont expérimentés, doivent pouvoir exprimer leur avis, en particulier lorsque ceci contredit celui du chef du Bureau de la gestion des investissements, un poste soumis à la nomination politique avec le titre de Représentant du Secrétaire général.

Nous soutenons fermement cette lettre et discuterons avec d’autres syndicats des mesures supplémentaires que nous pouvons entreprendre.

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