Outcome of the staff town hall on the liquidity crisis | Résultat de la réunion générale du personnel sur la crise de liquidité
April 5, 2024

Over 500 of you attended the staff town hall on UNOG’s response to the liquidity crisis and we would like to thank you for your engagement and contributions.

All agreed that the situation was untenable. Staff are being asked to bear the cost for the collective failure of member states to find a solution to the organisation’s liquidity issues caused by the late payments of some. While conferences are mostly unaffected, staff are being asked to carry out the same work in unsuitable conditions. Meanwhile the organisation claims that it’s business as usual.

To this end the organisation needs to be more honest about the situation. This includes not pressuring staff to quietly take flexible working arrangements, which are subject to management discretion, when alternate working arrangements are required (and even then this only partially alleviates the symptoms). And member states must be told that they won’t get the same services, reports and work that they are used to.

Many of you called for collective action against the current plans for building closures and made various proposals on the form such action should take. Others emphasized the need for management flexibility. A number of you urged caution.

We have therefore called a meeting of our Council to discuss a way forward, which will take place next week. We will be considering the most effective way to send the right message to member states, namely that we need all our office space here in Geneva and that a failure to pay contributions has consequences for them and not only for staff. We will keep you informed of the Council’s decision.

In the meantime, please continue to tell us about your ideas and concerns.


Plus de 500 d’entre vous ont assisté à la réunion générale du personnel sur la réponse de l’ONUG à la crise de liquidité et nous tenons à vous remercier pour votre engagement et vos contributions.

Tous étaient d’accord sur le fait que la situation était intenable. Il est demandé au personnel de supporter le coût de l’incapacité collective des États membres à trouver une solution aux problèmes de liquidité de l’organisation causés par les retards de paiement de certains d’entre eux. Si les conférences ne sont pour la plupart pas affectées, le personnel doit effectuer le même travail dans des conditions inadaptées. Pendant ce temps, l’organisation affirme que ses activités continuent comme d’habitude.

À cette fin, l’organisation doit être plus honnête quant à la situation. Cela implique de ne pas faire pression sur le personnel pour qu’il demande discrètement des modalités de travail aménagées, sujet à la discrétion de l’administration, lorsque des modalités de travail alternatives sont nécessaires (et même dans ce cas, cela n’atténue que partiellement les problèmes). Il faut également dire aux États membres qu’ils ne bénéficieront plus des mêmes services, rapports et travaux auxquels ils sont habitués.

Vous avez été nombreux à appeler à une action collective contre les projets actuels de fermeture de bâtiments et avez fait diverses propositions sur la forme que devrait prendre cette action. D’autres ont souligné la nécessité de la flexibilité de la part de l’administration. Plusieurs d’entre vous ont appelé à la prudence.

Nous avons donc convoqué une réunion de notre Conseil pour discuter de la voie à suivre, qui aura lieu la semaine prochaine. Nous réfléchirons à la manière la plus efficace d’envoyer le bon message aux États membres, à savoir que nous avons besoin de tous nos bureaux ici à Genève et que le non-paiement des contributions a des conséquences pour eux et pas seulement pour le personnel. Nous vous tiendrons informés de la décision du Conseil.

En attendant, continuez à nous faire part de vos idées et de vos préoccupations.

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