Reminder: Survey on the future of work | Enquête sur l’avenir des contrats des fonctionnaires de l’ONU
February 10, 2021

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As you may be aware, UN management chiefs are proposing plans that, if implemented, will fundamentally change long-established standards of employment, including contract security, and replace them with a model that is perceived as being more in line with the practices of the uberized ‘gig’ economy, characterized by precarious working relationships.

Instead of acknowledging the importance of stable, secure employment contracts to staff during these difficult times, the proposal recommends a drive towards ‘a more agile model contractual modality’, a move that we believe is designed to move staff to short, limited duration contracts. It could require staff to be rehired for each new contract and limit access to the pension fund.One crucial section of their report speaks of a new model contract supporting “a more agile organisation that can rapidly adapt to changing needs and opportunities and scale up and down as needed”.

The rationale for the plans is that the UN needs to have greater agility and responsiveness in dealing with challenges and world events and deliver in the context of funding constraints and a downturn in the global economy. We as staff union, along with CCISUA (our federation) recognise this situation, but are disappointed to see the solutions proposed by the organizations, which singularly fail to appreciate the critical importance of the established conditions of employment that lie at the heart of the relationship between staff and employer, expressed through a work contract. CCISUA has adopted a resolution in that sense.

In order to guide our discussions with management and all relevant counterparts, we ask you to please give us your views on the matter by answering this survey by Friday 12 February.


Cliquez ici pour accéder à l’enquête.

Vous savez peut-être que les chefs des administrations de l’ONU ont formulé des propositions qui, si elles étaient mises en œuvre, dérogeraient aux règles établies depuis un certain temps en matière de sécurité de l’emploi, notamment celle de la sécurité contractuelle, et leur substituerait un modèle dans lequel prévaudraient en grande partie les principes et la pratique de l’emploi précaire.

Au lieu d’admettre l’importance qu’il y à assurer aux fonctionnaires des contrats de travail stables et sûrs en ces temps difficiles, ces propositions préconisent « un cadre contractuel plus souple », ce qui selon nous, signifie des contrats de courte durée. Cela pourrait obliger le personnel concerné à se soumettre à un recrutement pour chaque nouveau contrat, et limiter l’accès au fonds de pension. Une section du rapport mentionne un nouveau dispositif contractuel qui favorisera « une organisation plus souple, capable de s’adapter rapidement à l’évolution des besoins et aux opportunités, et d’augmenter ou de réduire les effectifs en fonction des besoins ».

La raison invoquée pour ces changements est que l’ONU doit faire preuve d’une souplesse et d’une réactivité accrues face aux défis et aux événements mondiaux, dans un contexte de restrictions financières et de ralentissement de l’économie mondiale. Nous sommes conscients de ces réalités, tout comme la fédération de syndicats CCISUA à laquelle nous appartenons, mais nous sommes extrêmement déçus devant les solutions proposées par les organisations du Système. Ces solutions ignorent de façon criante l’importance cruciale des conditions d’emploi existantes, qui constituent le cœur de la relation entre les fonctionnaires et leurs employeurs, dont le contrat de travail est l’expression. La CCISUA a adopté une résolution en ce sens.

Nous avons besoin de votre avis pour mieux discuter avec les administrations et l’ensemble des parties prenantes. C’est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir répondre à cette enquête d’ici au vendredi 12 février.