Results of the mobility survey and next steps | Résultats de l’enquête sur la mobilité et prochaines étapes
October 11, 2022

Thank you for taking part in the global survey on the Secretary-General’s proposed mobility policy, which would require all new P and D staff and their families to change duty station every two to five years throughout their whole career. 2,144 staff members participated in the survey, representing all duty stations and Secretariat entities. Existing staff would be subject to the mobility policy if they are subsequently laterally transferred or promoted to a new post.

The full results can be found at this link.

In summary:

61 percent of you do not support the proposed policy while 25 percent are in favour of it. A further 14 percent are not sure.

Of those who replied, 55 percent had prior geographic mobility and 23 percent had at least three prior geographic moves.

For those of you not supporting the proposed policy:

  • 71 percent indicated you would prefer a voluntary mobility policy with progression to senior positions linked to prior geographic moves;
  • 64 percent thought a mobility policy should vary by functions, as organizational and staff needs differ across the organization;
  • 61 percent indicated that it would be disruptive to your children;
  • 57 percent indicated that such a policy would be disruptive to your spouse’s career; and
  • 24 percent indicated you had already moved a lot and would like such moves to be recognized.

We have taken your views on board, as well as your many very informative comments, and are raising them with management.

As a result, discussions took place during which management came back with proposals that addressed some concerns raised by the staff representatives and proposed a transitional measure for existing staff. Unions and management will meet next week in an attempt to bridge remaining impasses and we will keep you informed.

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For memory please see below a timeline of events relating to this policy:

Management issued a broadcast on 9 August 2022 on the new approach to staff mobility. At the Staff Management Consultation (SMC) Ad Hoc meeting on the same day, Staff Representatives were informed that the draft policy was with the Office of Legal Affairs for review with a view to its promulgation shortly. Staff representatives expressed surprise as they had communicated hundreds of comments on the policy and had not received sufficient responses to many issues of concern.

In response, the staff representatives prepared a paper highlighting areas of disagreement for discussion at the SMC Ad Hoc meeting on 7 September, requesting that the promulgation of the new policy be suspended until all disagreements are resolved or decided.

At the SMC Ad Hoc meeting on 7 September, additional clarifications were provided by management but also confirmation of some of our major concerns that will have a negative impact on staff and their families. While mobility is something that many staff have been advocating for, the staff representatives, which in general support mobility for staff, are very concerned about the implementation of a policy that does not take into account the valid concerns of staff.

The UNOG Staff Union prepared a broadcast on mobility and organized a town hall on 15 September 2022. Another broadcast with a global survey was issued on 20 September 2022. The global staff unions also provided additional views on the policy and highlighted the next steps to management in light of the unwillingness of management to design the new mobility policy on the basis of consulted agreements only. The matter was referred back to the SMC Working Group, which is currently discussing several areas of disagreement.


Nous vous remercions d’avoir participé à l’enquête sur le projet relatif à une politique de mobilité qui obligerait le personnel nouvellement recruté dans les catégories des administrateurs (P) et des directeurs (D) à changer de lieu d’affectation tous les deux à cinq ans pendant toute la durée de leur carrière. Au total, 2 144 d’entre vous ont participé à l’enquête, dans tous les lieux d’affectation et toutes les entités du Secrétariat. Le personnel existant ne sera soumis à la politique de mobilité que s’il est ensuite transféré latéralement ou promu à un nouveau poste.

Les résultats complets de l’enquête peuvent être consultés en cliquant sur ce lien.

En bref :

61 % des personnes qui ont répondu au questionnaire ne sont pas d’accord avec la politique proposée, tandis que 25 % y sont favorables et 14 % restent indécis.

55 % ont déjà changé de lieu d’affectation et 23 % ont l’ont déjà fait au moins trois fois.

Parmi ceux d’entre vous qui désapprouvent la politique proposée :

  • 71 % disent préférer une politique de mobilité volontaire selon laquelle la progression hiérarchique serait facilitée par les changements de lien d’affectation antérieurs ;
  • 64 % pensent que la politique de mobilité devrait être adaptée aux fonctions exercées, car les besoins de l’Organisation et du personnel diffèrent d’un service à l’autre ;
  • 61 % estiment que cette politique serait perturbante pour les enfants des fonctionnaires ;
  • 57 % estiment que cette politique nuirait à la carrière des conjoint(e) ;
  • 24 % précisent qu’ils ont déjà déménagé à de nombreuses reprises et souhaitent que cette mobilité passée soit pris en compte.

Nous avons pris note de vos avis sur la question et de vos commentaires aussi nombreux qu’instructifs, et nous en avons fait part à l’Administration.

En conséquence, des discussions ont eu lieu au cours desquelles l’Administration a présenté de nouvelles propositions répondant à certaines préoccupations soulevées par les représentants du personnel et a proposé une mesure transitoire pour le personnel existant. Les syndicats et l’Administration se réuniront la semaine prochaine pour tenter de sortir des impasses restantes et nous vous en tiendrons informés.

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Pour mémoire, voici une chronologie des événements relatifs à la politique proposée :

L’Administration, dans un broadcast du 9 août 2022, a annoncé sa nouvelle approche de la mobilité du personnel. À une réunion extraordinaire du Comité Administration-personnel (CAP) tenue le même jour, les représentants du personnel ont été informés que la politique de mobilité était entre les mains du Bureau des affaires juridiques, pour examen en vue de sa promulgation prochaine. Les représentants du personnel ont manifesté leur surprise et rappelé qu’ils avaient fait part de centaines d’observations sur la manière dont la politique devrait être élaborée mais que nombre de leurs sujets de préoccupation n’avaient pas reçu de réponses satisfaisante.

C’est pourquoi ils ont élaboré un document mettant en évidence les points de désaccord, en vue d’un débat sur la question à la réunion extraordinaire du CAP prévue le 7 septembre. Dans ce document, ils demandaient que la promulgation de la nouvelle politique soit suspendue jusqu’à ce qu’une solution ait été trouvée à tous les points de désaccord.

À la réunion du 7 septembre, l’Administration a donné quelques éclaircissements, mais elle a confirmé certains des points qui nous posaient le plus problème en raison de leur impact négatif sur les fonctionnaires et leurs familles. Nombre d’entre vous réclament la mobilité et les représentants du personnel sont également en général favorables à cette mobilité. Pourtant, nous sommes très inquiets à l’idée qu’une politique qui ne tient pas compte des préoccupations légitimes du personnel pourrait être appliquée.  

Le Syndicat du personnel de l’ONUG a diffusé un broadcast sur la mobilité et organisé une réunion générale à ce sujet le 15 septembre 2022. Une enquête mondiale a été lancée le 20 septembre 2022 dans un autre broadcast. Les syndicats du personnel au niveau mondial ont eux aussi donné leurs points de vue sur la politique projetée et fait des propositions à l’Administration en ce qui concerne la marche à suivre, compte tenu de son refus de concevoir une nouvelle politique de mobilité en ne s’appuyant que sur les accords ayant fait l’objet de consultation. La question a été renvoyée devant le Groupe de travail du CAP, qui est actuellement en train d’examiner plusieurs points de désaccord.