More than 1,000 staff members completed our recent survey, launched following the announcement of the official holidays for 2025. The results are clear: 71 per cent prefer to keep the previous holidays of Whit Monday and Jeûne genevois, while only 22 per cent prefer the new holidays of 26 and 27 December (the rest have no opinion). More than 300 of you also left comments, which you can read here.
As you can see, staff members have many different reasons for their preferences. Since all the potential days are on or around Christian holidays and during periods of school closure, arguments relating to religious diversity and childcare have been made in favour of both options.
In our view, the most compelling argument in favour of the traditional holidays is the benefit for staff welfare of spreading out rest days across the year. On official holidays when everyone is off, staff feel much less pressured to check their email or keep working than on floating holidays or annual leave days. On the other hand, in offices which have heavy workloads during the end-of-year period, an enforced three-day holiday will either make such pressure overwhelming or the work impossible to deliver. A return to the previous pattern of holidays would therefore contribute to supporting the UN’s new mental health and well-being strategy, including its focus on prevention and integrating well-being concerns in every aspect of decision-making.
Having considered these points the Staff Union Council decided unanimously to request the Director-General to return to the previous pattern of holidays.
Plus de 1 000 membres du personnel ont répondu à notre récente enquête, lancée à la suite de l’annonce des jours fériés officiels pour 2025. Les résultats sont clairs : 71 % préfèrent conserver les anciens jours fériés du lundi de Pentecôte et du Jeûne genevois, tandis que 22 % seulement préfèrent les nouveaux jours fériés des 26 et 27 décembre (les autres n’ont pas d’opinion). Plus de 300 d’entre vous ont également laissé des commentaires, que vous pouvez lire en cliquant ici.
Comme vous pouvez le constater, les membres du personnel ont de nombreuses raisons différentes pour leurs préférences. Étant donné que tous les jours possibles se situent pendant ou autour de fêtes chrétiennes et pendant des périodes de fermeture d’école, des arguments relatifs à la diversité religieuse et à la garde d’enfants ont été avancés en faveur des deux options.
Selon nous, l’argument le plus convaincant en faveur des jours fériés traditionnels est l’avantage pour le bien-être du personnel de répartir les jours de repos tout au long de l’année. Pendant les jours fériés officiels, lorsque tout le monde est en congé, le personnel se sent beaucoup moins obligé de consulter son courrier électronique ou de continuer à travailler que pendant les jours fériés variables ou les jours de congé annuel. En revanche, dans les bureaux qui ont une lourde charge de travail pendant la période de fin d’année, un congé forcé de trois jours rendra cette pression écrasante ou le travail impossible à fournir. Un retour à l’ancien calendrier des jours fériés appuierait donc la nouvelle stratégie pour la santé mentale et le bien-être, notamment en ce qui concerne l’accent mis sur la prévention et l’intégration des questions de bien-être dans tous les aspects de la prise de décision.
Après avoir examiné ces points, le Conseil du Syndicat a décidé à l’unanimité de demander à la directrice générale de revenir au calendrier des jours fériés précédent.