We would like to thank the 688 of you who answered the survey on racism in the workplace.

Some key findings of the survey are as follows:

• More than 1 in 3 staff have personally experienced racial discrimination and/or have witnessed others facing racial discrimination in the workplace.
• Among those who experienced or witnessed racism, a majority of staff indicated that racial discrimination affected opportunities for career advancement. A significant number of staff also indicated that racial discrimination manifested itself in the form of verbal abuse and exclusion from work events, such as decision-making, trainings, missions, assignments etc.
• Two-thirds of those who experienced racism did so on the basis of nationality.
• A large number who experienced or witnessed racial discrimination, harassment or abuse of authority indicated that they did not take any action. Lack of trust in the organization’s recourse mechanisms was cited as the most common reason. Many also stated that that they feared retaliation.
• Respondents believed racism needed to be addressed in a number of different ways. These include accountability and zero tolerance, training and sensitization, greater transparency in hiring, broader diversity, and a more open dialogue on the issue.

The findings of the survey confirm that racism exists within the United Nations, as earlier stated by the Secretary-General. They also show that supervisors and senior managers have an important role to play, as do all staff, in tackling this issue.

The results of the survey will guide our interactions with management at the duty station and globally. They will also be used to help the Council propose to senior management at UNOG a strategy to fight racism in the workplace.

We will soon provide more details about the way forward. Meanwhile, do not hesitate to share with us your ideas on taking this forward by sending us an email at: unogstaffcouncil@un.org.

Nous tenons à remercier les 688 fonctionnaires qui ont répondu à l’enquête sur le racisme sur le lieu de travail.

Voici quelques-unes des principales conclusions de l’enquête :

• Plus d’un fonctionnaire sur trois a été victime de discrimination raciale et/ou a été témoin de la discrimination raciale sur le lieu de travail.
• Parmi ceux qui ont été victimes ou témoins du racisme, une majorité a indiqué que la discrimination raciale affectait les possibilités d’avancement de carrière. Un nombre important de fonctionnaires a également indiqué que la discrimination raciale se manifestait sous la forme d’abus verbal et d’exclusion des événements professionnels, tels que la prise des décisions, les formations, les missions, les affectations, etc.
• Deux tiers des personnes qui ont été victimes de racisme l’ont été sur la base de leur nationalité.
• Un grand nombre de ceux qui ont été victimes ou témoins de discrimination raciale, de harcèlement ou d’abus de pouvoir ont indiqué qu’ils n’avaient pris aucune mesure. Le manque de confiance dans les mécanismes de recours de l’Organisation a été cité comme la principale cause de l’inaction. Beaucoup ont également déclaré qu’ils craignaient des représailles.
• Les répondants ont estimé que le racisme devrait être abordé de différentes manières. Il s’agit notamment de la responsabilisation et de la tolérance zéro, de la formation et de la sensibilisation, d’une plus grande transparence dans le recrutement, d’une plus grande diversité et d’un dialogue plus ouvert sur la question.

Les résultats de l’enquête confirment que le racisme existe au sein des Nations Unies, selon les mots du Secrétaire général. Ils montrent également que les superviseurs et les cadres supérieurs ont un rôle important à jouer, comme l’ensemble du personnel, pour s’attaquer à ce problème.

Les résultats de l’enquête guideront nos interactions avec l’Administration à Genève et au niveau mondial. Ils seront également utilisés pour aider le Conseil à proposer à l’Administration de l’ONUG une stratégie de lutte contre le racisme sur le lieu de travail.

Nous fournirons plus de détails sur la voie à suivre. En attendant, n’hésitez pas à nous faire part de vos idées sur la meilleure façon de faire avancer les choses en envoyant un courriel à l’adresse suivante : unogstaffcouncil@un.org.