Staff Union highlights concerns to DG at UNOG townhall meeting | Le Syndicat fait part de ses préoccupations à la Directrice générale lors de la réunion générale à l’ONUG
February 27, 2023

We first would like to thank all of the staff for the support and confidence in the Staff Union with respect to the recent elections. Please be assured that we will continue to work hard for your rights and conditions of service.

At the UNOG townhall meeting on 23 February 2023, the Staff Union was able to raise a number of issues with the Director-General, including:

  • We requested that future townhall meeting be held using a hybrid format to accommodate staff members that work outside of the Palais des Nations and those staff members who are telecommuting.
  • We requested the Director-General to undertake a review of G-3 staff members in the Central Support Services and the Safety and Security Section, who have been stuck at the G-3 level for many years, with a view to upgrading their levels.
  • We raised the issue of temporary staff, who have been languishing on temporary contracts for years, and that more must be done to support such staff members in finding opportunities for fixed-term appointments. We also raised the issue of career prospects for YPPs, some of whom are leaving the Organization, and the need to do a better job at retaining young talent as they are the future of the Organization.
  • We thanked the UNOG Working Group on addressing racism in the workplace noting that the Working Group finalized their recommendations, which were approved by the Director-General. We expressed our hope that concrete actions would be taken to fully address all forms of discrimination at UNOG, including comprehensive training, in particular for managers; monitoring of the staff selections and promotions to ensure diversity; and holding abusive managers and staff members accountable.
  • We thanked the UNOG Working Group on Staff Well-being and Mental Health. We noted our concern about the high levels of burnout among staff, and we requested the Administration to look into the root causes and to establish a plan of action to address these root causes as well as to prevent burnout.
  • We recommended that vacancies be filled without delay so that existing staff are not overworked; to provide more training to managers on a people-centered approach to management; to hold perpetrators of discrimination, harassment and abuse of authority accountable; and to provide support to staff members who have been subjected to abuse by managers or other staff members.
  • We raised the issue of the blurring of lines between our professional and personal lives as a result of the pandemic, and requested that managers respect the personal time of staff, which is particularly relevant to Languages Service staff in light of the increases to their workloads.
  • We reiterated our concerns about the health situation of interpreters in the context of remote simultaneous interpretation (RSI).
  • We raised the issue of Flexible Working Arrangements and our concerns over blanket restrictions that do not conform to the policy. While acknowledging that FWA is not an entitlement and is subject to the exigencies of service, the policy provides for an individualized assessment and this requirement should be respected.

We will be meeting with the Administration to discuss these issues further as well as other priority issues for staff at UNOG.

Please share with us other concerns that you may have so that we may also raise them with the Administration. All information received will remain confidential to protect the identity of the staff members concerned.


Nous souhaiterions tout d’abord remercier l’ensemble du personnel pour son soutien et sa confiance dans le Syndicat du personnel lors des récentes élections. Soyez assurés que nous continuerons à travailler dur pour vos droits et vos conditions de service.

Lors de la réunion générale avec la Directrice générale de l’ONUG du 23 février 2023, le Syndicat du personnel a pu soulever un certain nombre de questions, notamment :

  • Nous avons demandé que les futures réunions générales se déroulent en mode hybride afin d’accommoder les membres du personnel qui travaillent en dehors du Palais des Nations et ceux qui télétravaillent.
  • Nous avons demandé à la Directrice générale d’entreprendre un examen des membres du personnel G-3 des Services centraux d’appui et de la Section de la sûreté et de la sécurité, qui sont bloqués au niveau G-3 depuis de nombreuses années, en vue d’une revalorisation de leur niveau.
  • Nous avons soulevé la question du personnel temporaire, qui se morfond dans des contrats temporaires depuis des années, ainsi que le fait qu’il faut faire davantage pour aider ces membres du personnel à accéder à des engagements à durée déterminée. Nous avons également soulevé la question des perspectives de carrière du personnel dans le programme Jeunes administrateurs, dont certains quittent l’Organisation, et la nécessité de mieux retenir les jeunes talents, car ils représentent l’avenir de l’Organisation.
  • Nous avons remercié le Groupe de travail contre le racisme sur le lieu de travail à l’ONUG en notant que le Groupe de travail a finalisé ses recommandations, qui ont été approuvées par la Directrice générale. Nous avons exprimé l’espoir que des mesures concrètes seraient prises pour s’attaquer pleinement à toutes les formes de discrimination à l’ONUG, notamment une formation complète, en particulier pour les cadres, le contrôle des processus de sélection et promotion du personnel pour garantir la diversité, et des efforts pour faire en sorte que les cadres et les membres du personnel auteurs d’abus répondent de leurs actes.
  • Nous avons remercié le Groupe de travail de l’ONUG sur le bien-être et la santé mentale du personnel. Nous avons fait part de notre préoccupation concernant le niveau élevé d’épuisement professionnel au sein du personnel, et nous avons demandé à l’Administration d’examiner ces causes et d’établir un plan d’action pour y remédier et prévenir l’épuisement professionnel.
  • Nous avons recommandé que les postes vacants soient pourvus sans délai afin que le personnel en place ne soit pas surchargé de travail, que les cadres reçoivent une formation plus poussée sur une approche de la gestion axée sur l’humain, que les auteurs de discrimination, de harcèlement et d’abus de pouvoir répondent de leurs actes et que les membres du personnel victimes d’abus de la part de cadres ou d’autres fonctionnaires bénéficient d’un soutien.
  • Nous avons soulevé la question du manque de distinction entre la vie professionnelle et la vie privée en raison de la pandémie, et avons demandé aux cadres de respecter le temps libre du personnel, ce qui est particulièrement pertinent pour le personnel du Service linguistique compte tenu de l’augmentation de leur charge de travail.
  • Nous avons réitéré nos préoccupations quant à la santé des interprètes dans le contexte de l’interprétation simultanée à distance.
  • Nous avons soulevé la question des aménagements des modalités de travail et nos préoccupations concernant les restrictions générales qui ne sont pas conformes à la politique en vigueur. Tout en reconnaissant que les aménagements des modalités de travail ne sont pas un droit et qu’elles sont soumises aux exigences du service, nous avons insisté sur le fait que la politique prévoit une évaluation individualisée et cette exigence doit être respectée.

Nous rencontrerons l’Administration pour poursuivre la discussion de ces questions ainsi que d’autres questions prioritaires pour le personnel de l’ONUG.

Nous vous invitons à nous faire part de vos autres préoccupations afin que nous puissions également les soulever auprès de l’Administration. Toutes les informations reçues resteront confidentielles afin de protéger l’identité des membres du personnel concernés.