We would like to draw your attention to the current policy on step determination for external candidates. Staff on temporary appointments are also considered external candidates every time they start a new contract.
For many years, staff who were recruited from outside were given a step commensurate with their years of experience. Meanwhile internal staff who were promoted were restricted to “the lowest step of the level to which they have been assigned that provides an increase in net base salary equal to at least the amount that would have resulted from the granting of two steps at the lower level”. Thus, for an equal number of years of experience, internally-promoted staff often found themselves being paid less than external recruits.
In 2023, the Office of Human Resources changed the rule so that internal staff who were promoted would be assigned a step at the new grade that was commensurate with their experience, just like for external recruits. This ensured equality for internal and external staff and was supported by staff unions.
The General Assembly objected to this new practice on grounds of cost and passed a resolution, despite our objections, to reverse it. In order to not return to the earlier discrepancy between externally recruited candidates and internally promoted candidates, OHR decided to strictly apply the staff rule stating that “on appointment, a staff member shall normally be placed at the first step of the level of his or her post”. However, this implied significant pay cuts for temporary colleagues compared to their previous contracts. That policy was revised to allow for professional experience to be taken into account, although not to the same extent as before. The new maximum steps are set out in tables in the attached policy document.
Importantly, we have had confirmation from OHR in New York that UN Secretariat entities are expected to grant the maximum possible step according to the new policy. It should not be necessary for candidates to negotiate or to get special permission from the head of entity. Staff members who believe they were placed at the wrong step have one year to request a review and are advised to check the policy document carefully. Please bear in mind that there is separate guidance for recruitment to positions that require “special language competence”, i.e. for newly recruited translators and interpreters.
While the new practice removes the advantage that external recruits had over internally-promoted staff it has unfairly impacted temporary staff. We plan to take this issue up at the Staff Management Committee.
Nous souhaitons attirer votre attention sur la politique actuelle relative à la détermination des échelons pour les candidats externes. Les membres du personnel temporaires sont également considérés comme des candidats externes chaque fois qu’ils commencent un nouveau contrat.
Pendant de nombreuses années, le personnel recruté à l’extérieur se voyait attribuer un échelon correspondant à leurs années d’expérience. Pendant ce temps, les employés internes promus étaient limités à « l’échelon le plus bas qui lui assure une augmentation de son traitement de base net au moins égale à deux échelons de son ancienne classe ». Ainsi, pour le même nombre d’années d’expérience, les employés promus en interne se retrouvaient souvent moins bien payés que les employés recrutés à l’extérieur.
En 2023, le Bureau des ressources humaines a modifié la règle afin que le personnel promu en interne se voie attribuer un échelon dans la nouvelle classe correspondant à leur expérience, tout comme le personnel recruté à l’extérieur. Cette mesure garantissait l’égalité entre les employés internes et externes et était soutenue par les syndicats du personnel.
L’Assemblée générale s’est opposée à cette nouvelle pratique pour des raisons de coût et a adopté une résolution, malgré notre opposition, pour l’annuler. Afin de ne pas renouer avec l’écart existant entre les candidats recrutés à l’extérieur et les candidats promus en interne, le Bureau des ressources humaines a décidé d’appliquer strictement le règlement du personnel stipulant que « lors de sa nomination, la rémunération du fonctionnaire est normalement celle correspondant au premier échelon de la classe de son poste ». Toutefois, cela impliquait des réductions de salaire importantes pour les collègues temporaires par rapport à leurs contrats précédents. Cette politique a été révisée pour permettre la prise en compte de l’expérience professionnelle, mais pas dans la même mesure qu’auparavant. Les nouveaux échelons maximums sont indiqués dans les tableaux du document ci-joint.
Il est important de noter que le Bureau des ressources humaines à New York nous a confirmé que les entités du Secrétariat de l’ONU sont censées attribuer l’échelon maximum possible conformément à la nouvelle politique. Il ne devrait pas être nécessaire pour les candidats de négocier ou d’obtenir une autorisation spéciale du chef de l’entité. Les membres du personnel qui estiment avoir été placés au mauvais échelon ont un an pour demander un réexamen et il leur est conseillé de vérifier attentivement le texte du document. Il est à noter qu’il existe des directives distinctes pour le recrutement à des postes qui nécessitent une « compétence linguistique particulière », c’est-à-dire pour les traducteurs et interprètes nouvellement recrutés. Bien que la nouvelle pratique supprime l’avantage dont bénéficiaient les recrues externes par rapport au personnel promu en interne, elle a eu un impact injuste sur le personnel temporaire. Nous prévoyons de soulever cette question devant le Comité Administration-personnel.