Summary of the townhall with Guy Ryder | Résumé de la réunion générale avec Guy Ryder
June 13, 2025

We would like to thank those of you who attended the townhall with USG Guy Ryder last week. Anyone who was unable to attend can watch the recording  here.

Staff had many questions, some of which were summarized in a statement made by the UNOG Staff Union President.

During the meeting, the USG called UN 80 a necessary response to current circumstances, which weren’t just driven by one country, and which questioned the “very practice and values of multilateralism”. He confirmed that member states would have the final say on most of what was being proposed and acknowledged the process would be painful, especially for those losing their jobs.

He confirmed that the number of posts would be reduced by 20 percent, leading to a reduction in budget of between 15 and 20 percent. However, there could perhaps be some flexibility for certain departments and offices.

He acknowledged that it would be more logical for the strategic clusters to complete their work before deciding budget cuts but said there wasn’t time. He later said he did not think UN80 was proceeding with undue haste. He did not agree that UN 80 was characterized by turf wars between senior managers, nor that specialized agencies had been distancing themselves from the process.

He did not respond to complaints that information had not been shared with staff representatives before being discovered through media leaks nor on allegations that management was trying to avoid implementing fair and transparent criteria for downsizing. He also did not respond on the impact of fragmenting teams across duty stations.

He reasserted an earlier claim, disputed by staff unions, that there would be real consultations at the upcoming meeting of the Staff-Management Committee.

He did not answer on the costs of relocation and restructuring.

He agreed that personal circumstances should be considered by management in any relocation, including for LGBTQI+ staff, and that destinations were still being reviewed.

When asked how UN 80 fitted with previous reforms and initiatives, including UN 2.0 and Pact for the Future, he stated that they were linked.

He did not think UN 80 should be compared to the Titanic.

He said that despite criticism, the SG had been defending the UN and talking to member states and parliaments. Not having a US permanent representative made things more challenging.

It was confirmed that funds were being sought for agreed terminations.

We have requested written answers to questions asked in the chat which were not answered during the meeting and will provide those once we receive them.


Nous tenons à remercier ceux d’entre vous qui ont assisté à la réunion générale avec le Secrétaire général adjoint Guy Ryder la semaine dernière. Les personnes qui n’ont pas pu assister à cette réunion peuvent en visionner l’enregistrement  ici.

Le personnel avait de nombreuses questions, dont certaines ont été résumées dans une intervention faite par le président du Syndicat du personnel.

Au cours de la réunion, le Secrétaire général adjoint a déclaré que l’initiative UN80 était une réponse nécessaire aux circonstances actuelles, qui n’étaient dues à un seul pays et qui remettaient en question « la pratique et les valeurs mêmes du multilatéralisme ». Il a confirmé que les États membres auraient le dernier mot sur la plupart des propositions et a reconnu que le processus serait douloureux, en particulier pour ceux qui perdraient leur emploi.

Il a confirmé que le nombre de postes serait réduit de 20 %, ce qui entraînerait une réduction du budget de 15 à 20 %. Toutefois, certains départements et bureaux pourraient bénéficier d’une certaine flexibilité.

Il a reconnu qu’il serait plus logique que les groupes stratégiques achèvent leur travail avant de décider des réductions budgétaires, mais il a déclaré qu’il n’y avait pas le temps. Il a ensuite déclaré qu’il ne pensait pas que l’initiative UN80 procédait avec une précipitation excessive. Il n’était pas d’accord pour dire que UN80 se caractérisait par des guerres intestines entre cadres supérieurs, ni que les agences spécialisées avaient pris leurs distances par rapport au processus.

Il n’a pas répondu aux plaintes selon lesquelles les informations n’avaient pas été communiquées aux représentants du personnel avant d’être découvertes par des fuites dans les médias, ni aux allégations selon lesquelles l’administration essayait d’éviter de mettre en œuvre des critères équitables et transparents pour la réduction des effectifs. Il n’a pas non plus répondu sur l’impact de la fragmentation des équipes entre les lieux d’affectation.

Il a réaffirmé une affirmation antérieure, contestée par les syndicats du personnel, selon laquelle il y aurait de véritables consultations lors de la prochaine réunion du Comité personnel-administration.

Il n’a pas donné de réponse sur les coûts de la relocalisation et de la restructuration.

Il a reconnu que l’administration devait tenir compte des circonstances personnelles lors de tout déménagement, y compris pour le personnel LGBTQI+, et que les destinations étaient toujours en cours d’examen.

Interrogé sur la place de l’initiative UN80 dans les réformes et initiatives précédentes, y compris UN 2.0 et le Pacte pour l’avenir, il a déclaré qu’elles étaient liées.

Il ne pense pas que UN80 puisse être comparée au Titanic.

Il a ajouté qu’en dépit des critiques, le SG avait défendu l’ONU et s’était entretenu avec les États membres et les parlements. L’absence d’un représentant permanent des Etats-Unis rend les choses plus difficiles.

Il a été confirmé que des fonds étaient recherchés pour les indemnités de licenciement. Nous avons demandé des réponses écrites aux questions posées lors du chat qui n’ont pas été répondues pendant la réunion et nous les fournirons dès que nous les aurons reçues.

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