Following a unanimous decision of our Council we will be meeting administration later this week to express our strong concerns regarding the Palais closures.
In the meantime, many of you have asked us for data on the actual savings. We have now been provided costings that appear to show year-on-year savings in electricity costs (once adjusted for lower prices this year) of 112,000 CHF for the month of May. If this is extended to the end of the year, it will likely represent a saving of approximately 1.1 percent of UNOG’s 2024 budget.
However, this relatively small saving should be compared to some very real costs.
In addition to reduced staff welfare, output and productivity, these include UNOG’s reputational risk and future prospects.
While the Palais has been hanging a closed sign on its front door, other duty stations have remained fully open, earning goodwill and respect from member states. At the same time duty stations such as Nairobi and Bonn have been moving aggressively to gain back-office service centre business from different UN entities, assuring them an important future.
In advance of our meeting, we ask the Director-General to consider whether these savings are really worth the cost and to consider the strategic impact these closures will have on the future of Geneva as a duty station.
Suite à une décision unanime de notre Conseil, nous rencontrerons l’administration plus tard cette semaine pour exprimer nos vives inquiétudes concernant les fermetures du Palais.
Entre-temps, vous êtes nombreux à nous demander des données sur les économies réelles. Nous avons maintenant reçu des estimations qui semblent montrer des économies sur les coûts d’électricité par rapport à l’année dernière (une fois ajustés pour tenir compte des prix plus bas cette année) de 112 000 CHF pour le mois de mai. Si cela est prolongé jusqu’à la fin de l’année, cela représentera probablement une économie d’environ 1,1 pour cent du budget 2024 de l’ONUG.
Toutefois, cette économie relativement modeste doit être comparée à des coûts bien réels.
Outre la réduction du bien-être, du rendement et de la productivité du personnel, ces problèmes incluent le risque pour la réputation de l’ONUG et les perspectives d’avenir.
Alors que le Palais a accroché un panneau fermé sur sa porte d’entrée, d’autres lieux d’affectation sont restés entièrement ouverts, gagnant la bonne volonté et le respect des États membres. Dans le même temps, des lieux d’affectation tels que Nairobi et Bonn ont agi de manière agressive pour acquérir des centres de services de back-office auprès de différentes entités des Nations Unies, leur assurant ainsi un avenir important.
Avant notre réunion, nous demandons à la Directrice générale de déterminer si ces économies en valent vraiment la peine et d’envisager l’impact stratégique que ces fermetures auront sur l’avenir de Genève en tant que lieu d’affectation.