Result for staff unions: UN pension fund agrees to cut back on outsourcing | Les syndicats ont obtenu de la Caisse des pensions de l’ONU qu’elle revoie à la baisse son projet d’externalisation
July 15, 2022

We would like to update you on the campaign regarding the outsourcing of the UN pension fund’s investment management.

You will recall that following a number of townhalls, letters and a petition signed by 14,000 of you, the pension fund agreed to meet with CCISUA, the federation to which your staff union belongs, in order to understand your concerns, suspending its actions in the meantime.

Extensive discussions were held with the fund’s Office of Investment Management (OIM). These took into account reviews of assumptions, improved internal performance, market volatility and building up of internal capacity. An important challenge was the need to restore expertise that the fund had only recently lost and the time this might take.

For this reason the fund has agreed to reduce the percentage of asset management outsourced from 18 percent to between 5 and 7 percent (75 percent to 22 percent of the fixed-income portfolio), with a commitment to further review the situation in March 2023, once the fixed-income team reaches full capacity, including the recruitment of additional investment officers with the necessary expertise.

This development is welcome. At the same time we are disturbed to learn that while CCISUA was holding constructive discussions with the OIM, the Chair of the fund’s Board decided to write a letter to CCISUA threatening to suspend its observer status for having spoken out on your concerns. CCISUA’s reply to this threat can be read here and we encourage you to read it in order to understand the governance problems that our pension fund continues to have.


Voici quelques informations récentes sur notre campagne contre l’externalisation de la gestion des investissements de la Caisse des pensions de l’ONU.

Vous vous souvenez certainement qu’après plusieurs réunions générales, une série de lettres et une pétition signée par 14 000 d’entre vous, la Caisse des pensions a accepté de rencontrer la CCISUA, la fédération à laquelle appartient votre syndicat, afin d’entendre vos préoccupations, et qu’elle a suspendu son projet dans l’intervalle.

La révision des hypothèses, l’amélioration des performances internes, la volatilité du marché et le renforcement des capacités internes ont fait l’objet de longs échanges avec le Bureau de la gestion des investissements de la Caisse. La nécessité de doter à nouveau cette dernière de compétences qu’elle avait encore jusqu’à une époque récente et le temps que cela risquait de prendre constituaient un enjeu important.

En conséquence, la Caisse a accepté de ramener le pourcentage des actifs dont elle comptait externaliser la gestion de 18 % à un taux compris entre 5 et 7 % (soit de 75 % à environ 22 % du portefeuille à revenu fixe), et elle s’est engagée à réexaminer la situation en mars 2023, c’est-à-dire une fois que l’équipe des investissements à revenu fixe aurait atteint sa pleine capacité, grâce notamment au recrutement de spécialistes possédant les compétences nécessaires.

Nous saluons cette évolution, mais nous sommes en même temps contrariés par le fait que, alors même que la CCISUA menait des discussions constructives avec le Bureau de la gestion des investissements, le Président du Comité mixte de la Caisse ait envoyé à la CCISUA une lettre dans laquelle il la menaçait de suspendre son statut d’observateur sous prétexte qu’elle avait fait publiquement part de vos préoccupations. Nous vous encourageons à lire la réponse de la CCISUA à cette menace en cliquant sur ce lien pour comprendre les problèmes de gouvernance que continue à connaître notre Caisse des pensions.