Update on the situation of national staff in Afghanistan | Mise au point concernant la situation du personnel recruté sur le plan national en Afghanistan
September 17, 2021

As a follow-up to letters addressed to the Secretary-General from CCISUA, the staff federation to which the UNOG Staff Coordinating Council belongs, we also addressed letters to the High Commissioner for Human Rights, Ms. Michelle Bachelet, and to the Under-Secretary-General for Humanitarian Affairs, Mr. Martin Griffiths in which we expressed our concern about the safety of all staff members remaining in Afghanistan and requesting information on the measures that have been put in place by both entities to mitigate risks to staff, as well as plans to relocate and evacuate affected staff and their families.

We received responses from both the OHCHR and OCHA. Both letters highlight that both entities are following the security situation closely and have taken measures to increase security measures, relocate staff to safer areas and evacuate staff. OHCHR reported that one-third of UNAMA’s national human rights staff are now “in a position of safety”. OCHA indicated that national staff and their families who are at unacceptable risk “…have been, and continue to be, supported in leaving Afghanistan.”

We are grateful for these responses from both the High Commissioner for Human Rights and the Under-Secretary-General for Humanitarian Affairs and the measures that have been taken to ensure staff safety on the ground. As the situation remains fluid, we would appreciate it if staff could continue to provide us with information on the status of colleagues in Afghanistan so that we can follow-up as necessary.


Dans le prolongement des courriers adressés au Secrétaire général par la CCISUA, la fédération de syndicats du personnel dont est membre le Conseil de coordination du personnel de l’ONUG, nous avons également écrit à la Haute-Commissaire aux droits de l’homme, Mme Michelle Bachelet, et au Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires, M. Martin Griffiths, pour leur faire part de notre inquiétude quant à la sécurité de tous les membres du personnel restés en Afghanistan. Nous avons demandé des informations sur les mesures mises en place par les deux entités pour atténuer les risques encourus par le personnel, ainsi que sur les plans de relocalisation et d’évacuation des collègues concernés et de leurs familles.

Nous avons reçu des réponses du HCDH et de l’OCHA. Les lettres que ces deux entités nous ont adressées soulignent qu’elles suivent de près la situation en matière de sécurité et qu’elles ont pris des mesures pour renforcer la sécurité du personnel, le relocaliser dans des zones plus sûres ou l’évacuer. Le HCDH affirme qu’un tiers du personnel des droits de l’homme de la MANUA recruté sur le plan national se trouve désormais « en sécurité ». L’OCHA a indiqué que les membres du personnel recrutés sur le plan national et leurs familles qui courent des risques inacceptables « … ont été, et continuent d’être, aidés à quitter l’Afghanistan ».

Nous remercions la Haute-Commissaire aux droits de l’homme et le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires pour ces réponses, ainsi que pour les mesures qui ont été prises pour assurer la sécurité du personnel sur le terrain. Comme la situation reste changeante, nous apprécierions que vous continuiez à nous fournir des informations sur le statut de vos collègues restés en Afghanistan afin que nous puissions assurer un suivi si nécessaire.